Mosaïque à sketches, « Paris Je t’aime » est agréable à suivre même si parfois un peu inégal.

Sur le thème universel de l’amour, des hommes et des femmes défilent sous nos yeux dans les quartiers d’un Paris actuel. Au hasard des arrondissements, des histoires se nouent ou se dénouent.

Amours tendres, amours malheureuses, mort, divorce,...

... drague, drogue, tendresse, sexe sans oublier l’humour, vingt réalisateurs célèbres ont mis l’amour en scène, pendant 5 minutes chacun, utilisant des acteurs de renommée internationale ou d’autres un peu moins célèbres mais tout aussi bons.

Les films « mosaïque » sont très tendance, qu’ils soient choraux ou à sketches ; ils mettent en scène la vie de plusieurs personnes, certaines se retrouvant, se reconnaissant ou d’autres passant simplement leur chemin.

Lequel m’a le plus plu ? difficile à dire ; j’ai bien aimé « la nuit vampire du quartier de la Madeleine ». Wes Craven et son Père Lachaise m’ont beaucoup amusée aussi, loin des horreurs à la Scream.
Mais il n’y a pas que lui, il y a aussi les frères Coen, Gus van Sant, Walter Salles, Isabel Coixet, Olivier Assayas, l’omniprésent Gérard Depardieu et beaucoup d’autres qui nous offrent des moments de pure émotion ou de sourires doux-amers.

Quant aux acteurs, à côté de grandes pointures comme Elijah Wood, Natalie Portman, Gena Rowlands, Fanny Ardant, Juliette Binoche Bob Hoskins, Ben Gazzara ou Nick Nolte et Steve Buscemi, on trouve Julie Bataille, Rufus Sewell, Maggie Gyllenhaal, Emily Mortimer, et beaucoup d’autres.

J’aurais tendance à dire que « Paris Je t’Aime » est un peu un « Love Actually » international qui nous promènent dans la « Ville Lumière » et cette promenade procure un bien agréable moment de détente.