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The Incredibles, de Brad Bird

Dans les années 50, Mr. Incredible, Elastigirl et Frozone aidaient le gouvernement et la police à aider les braves gens, mais chacun sait que les braves gens sont parfois terriblement ingrats. Après quelques procès pour dommages subis par ceux qu’ils ont aidés, le gouvernement exige que les super héros mettent leur costume au placard et rentre...

... dans le rang. L’ennui c’est que c’est très dur d’adopter un profil bas et de rentrer dans le rang. Bob Parr n’y arrive pas très bien, être agent d’assurances, mal traité par son boss et ne pas pouvoir lui envoyer une beigne en travers de la figure au risque de perdre son emploi, c’est très pénible. Du coup, las de vivre une vie médiocre, il néglige sa femme et ses enfants, eux aussi doués de super pouvoirs et plutôt mal dans leur peau.
Arrive alors une superbe pépée blonde, proposant à Bob de rempiler, mais pour une organisation privée. Du coup, notre ex-super héros retrouve un 2ème souffle. Pour réaliser, trop tard, qu’il a été manipulé ; sa tendre moitié étant convaincue qu’il la trompe, elle décide de s’en mêler et ça ne va rien arranger, bien sûr. Heureusement qu’il y a les enfants …

Ce nouveau film d’animation des studios Pixar louche du côté de James Bond et des Spy Kids ; comme toujours, des grosses pointures du cinéma et de la télé prêtent leur voix : dans ce cas-ci, Samuel Jackson pour Frozone et Craig T.Nelson pour Bob, Incredible. Holly Hunter prête sa voix et son caractère très décidé à la charmante Elastigirl, alias Helen. C’est moins enfantin que Toy Story et Finding Nemo, c’est un peu moins drôle aussi, sauf quand les enfants s’en mêlent. J’avais deviné dès le début qui serait le méchant tant c’était évident.

Cependant je veux ajouter une mention spéciale au rôle beaucoup trop court de Edna Mode, dite « M » (vous voyez qui je veux dire), designer de vêtements pour super héros, à qui l’auteur du film prête sa voix. Edna est une excellente parodie des créateurs de mode et de plus, j’ai une tendresse particulière pour elle car elle me ressemble comme deux gouttes d’eau : petite binoclarde poseuse. Adorable je vous dis.

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