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National Treasure, de Jon Turtletaub

Benjamin Franklin Gates a été nommé chevalier par son grand-père, parce qu’il fait partie d’une longue lignée de protecteurs du célèbre trésor des Templiers, dont l’indice principal est « Charlotte ». 30 ans plus tard, Ben Gates est toujours à la recherche de « Charlotte » et a trouvé un homme d’affaires prêt à l’aider à découvrir l’épave, car...

... cette Charlotte est un bateau qui serait enfoui dans les glaces du pôle. Cette découverte et le nouvel indice mènent tout droit à une carte figurant au dos de la Déclaration d’Indépendance qui se trouve à Washington. Cette dernière est formidablement protégée et inaccessible, ce qui ne semble pas retenir le sponsor de Ben. Ayant l’habitude d’actions peu nettes, il décide de voler la déclaration avec ses comparses, devant le désaccord de Ben il décide de s’en débarrasser. Pour Ben et son meilleur ami, il ne reste plus qu’une solution, également voler la déclaration pour la protéger des bandits. Grâce à d’habiles subterfuges, il arrive à ses fins avant les voleurs et à partir de là, il est poursuivi par la jolie directrice du musée, par le FBI, la police et les brigands bien entendu. C’est à qui arrivera le premier d’indice en indice jusqu’au formidable trésor secret … s’il existe, ce qui n’est nullement l’avis du père de Ben.
On a voulu voir dans NATIONAL TREASURE, un retour aux films d’Indiana Jones ou Allan Quatermain. J’y ajouterai une touche de Tintin aussi et même plus que dans les autres comparaisons. Quant à dire que cette chasse au trésor est dans la ligne du « Da Vinci Code » de Dan Brown, c’est ignorer que le scenario de National Treasure est bien antérieur au roman de Brown.



Nicholas Cage est formidable de gentillesse, d’humour et d’ingéniosité dans le rôle de Ben Gates ; la jolie Diane Kruger (ex-Hélène de Troie) est nettement plus vivante et drôle que dans le rôle de la reine grecque ; le troisième larron gentil est Justin Bartha. Quant au méchant de service, c’est une fois de plus le séduisant Sean Bean qui s’y colle et qui s’y colle formidablement bien ; il est aussi inquiétant que beau. Dans les autres rôles on retrouve avec plaisir Jon Voigt, qui semble désormais endosser la paternité de tous les chasseurs de trésor du cinéma et Harvey keitel dans le rôle du flic ironique, désireux de mettre la main sur un coupable.

Un excellent divertissement à ne pas bouder si on aime les aventures de Tintin.

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