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Wild (The), de Steve Williams

Ah les enfants ! toujours à se fourrer dans des situations dont leurs parents doivent les sortir ! Ryan, un jeune lion, n’arrive pas à rugir malgré toutes les histoires de rugissements que lui raconte son papa Samson, le lion du zoo de New York. Il aimerait vraiment la voir cette savane où son père a appris à rugir et pour cela il sait qu’il doit...

... aller dans l’une des « grandes boîtes » vertes à l’extérieur du zoo, celles que l’on emmène vers la grande bonne femme verte avec un drôle de truc en main et puis sur des bateaux qui disparaissent au loin.



Ryan va donc, un soir, se réfugier dans l’un de ces conteneurs, mais lorsque celui-là est emporté il se rend compte que là il va quitter tous ceux qu’il aime et qui l’aiment, à commencer par son papa. Samson, pétrifié d’étonnement, voit son rejeton disparaître sous ses yeux, mais qu’à cela ne tienne, son fils a besoin de lui, il va le retrouver. Oui mais où ? Avec l’aide de Benny l’écureuil, Nigel le koala, Bridget la girafe et Larry le boa, le voilà en route à travers les rues de New York… y a-t-il pire jungle ?



après un coup de main … pardon de pattes de deux crocos dans les égoûts, les voilà aussi en route vers l’Afrique où le fils de Samson est tombé dans les sabots d’un gnou devenu fou et ayant décidé de se retrouver en haut de la chaîne alimentaire, soit devenir un prédateur et donc manger du lion ! C’est Nigel, le koala qui en a marre d’être la peluche la plus adorable du monde, qui aidera tout le monde à se sortir de l’emprise des gnous, mais auparavant Samson aura retrouvé son fils, lui aura avoué son secret et le lion ado aura enfin appris à rugir !



Inutile de le cacher, en allant voir “The Wild” j’étais convaincue de voir une ressucée de “Madagascar”. Après tout il s’agit tout de même d’un sujet identique dans les deux films : les animaux du zoo de New York sont les rois de leur zoo, font la fête, s’invitent les uns chez les autres, bref il y a de l’ambiance, jusqu’à ce que l’un d’entre eux décide de se faire la belle et du coup, voilà ses copains obligés d’affronter la jungle de la Grosse Pomme s’ils veulent le retrouver. Cette similitude-là mise à part, ce film d’animation est plein d’humour, les voix sont terriblement sympas, surtout celle de Benny l’écureuil puisqu’il s’agit de celle de James Belushi. Samson, lui, est interprété par Kiefer Sutherland et c’est William Shatner (l’ex capitaine Kirk) qui est le « méchant gnou »



Quant à l’animation proprement dite, elle est très au point, le poil des animaux est très réaliste, les dessins sont beaux, les dialogues pas idiots et le message sympa, à savoir « unissons nous malgré nos différences pour vaincre les écueils ».

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